TEB : impressions danse courte

 

Virtue / Moir

On n'était pas trop nerveux, on se sentait prêt à tout donner. Malheureusement il y a eu quelques petites erreurs de ci de là, mais quand on est sorti de la glace Marina [Zoueva] était contente, donc on fait confiance en son jugement. Le règlement est tel qu'il est, il impose beaucoup de restrictions, mais il faut faire avec, et réussir à l'adapter au mieux en fonction de ce que l'on veut faire.

 

 

 

Péchalat / Bourzat

Notre performance de ce soir est meilleure que celle du Skate Canada (où Fabian était souffrant, ndlr). Notre short dance peut toujours être améliorée, on va travaillerour ça, mais dans l'ensemble on est assez satisfait, le public nous a bien suivi. Le gros point qu'il faut qu'on améliore encore, c'est le travail de fond : dans ce programme nous n'avons aucun temps de repos, aucun passage de musique lente. Des fois, on sent qu'on est peu derrière la musique, il faut revenir à niveau, et d'autres fois on sent qu'il faudrait donner plus, mais on est déjà à fond. Il faut donc qu'on travaille encore le physique pour mieux tenir ce carnaval de Rio.

Fabian : Et si quelqu'un retrouve mes chaussures, ce serait sympa, car rentrer pieds nus à l'hôtel, ca ne va pas être très sympa.

 

Capellini / Lanotte

On était content de notre performance au Skate Canada, on était également satisfait de notre programme ici qui est comme une confirmation, on a patiné bien et proprement. On a beaucoup étudié l'esprit des danses latines ce printemps et cet été, on tient à exprimer cette âme latine sur la glace, nous sommes italiens après tout ! Dans l'ensemble, on ne s'en est pas mal sorti.

Luca : L'année dernière était particulière, assez loin de nos espérances. Nous sommes partis nous entraîner à Lyon avec Murielle Zazoui, où nous avons beaucoup appris. Ensuite notre fédération nous a conseillé de revenir en Italie, c'était un gros challenge. Nous avons aussi fait des stages cet été avec Morozov, où on a également beaucoup appris, rien qu'en le regardant !

Anna : évidemment il y a eu des moments assez frustrants, comme les championnats d'Europe qu'on a regardé… chez nous à la télévision. Mais d'un autre côté, ça a reboosté notre motivation, on sentait qu'on avait beaucoup encore à offrir. On a regroupé notre énergie, et on a repris le travail. Et ça commence à payer !

 

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