Nathalie PECHALAT/Fabian BOURZAT :
Elle : Nous avons progressé depuis la Coupe de Chine et nous en sommes très heureux. Je suis restée très concentrée sur mes pas et je me suis sentie bien dans mes patins. Nous avons beaucoup apprécié de patiner pour le public français.
Lui : Nous pensons que le remplacement des imposés et de la danse originale par le programme court est une bonne chose. C’est intéressant puisqu’on a plus de place à la création, on peut mettre nos propres mouvements des bras et des jambes. On peut choisir notre propre musique. Bref, on n’est pas aussi contraints que dans les imposés, on peut s’approprier réellement le programme, l’adapter à notre style et à notre personnalité.
Elle : Il ne faut tout de même pas oublier les limites que la danse courte nous impose. Il ne faut surtout pas la penser comme un libre. Il est nécessaire de partir des contraintes et de mettre ensuite petit à petit nos propres créations.
Ekaterina RIAZANOVA/Ilia TKACHENKO :
Lui : Cela ne fait pas longtemps que nous avons fait notre premier Grand Prix de la saison. Donc on n’a pas eu beaucoup de temps pour progresser. Mais on a fait une belle performance ce soir. Cependant, demain, il va falloir qu’on soit encore meilleurs.
Madison CHOCK/Greg ZUERLEIN :
Elle : Nous sommes très heureux car nous avons vraiment beaucoup progressé ces derniers temps. On se sent très bien maintenant dans notre programme, on est beaucoup plus confiants.
Lui : Nous avons vraiment profité lorsqu’on était sur la glace, on s’est plongé dans notre programme et on a aimé les réactions du public français par rapport à notre musique d’Edith Piaf. Lorsqu’on l’a choisi, on ne savait pas encore que nous allons patiner au Grand Prix de Paris, mais c’est d’autant plus agréable. Nous sommes très heureux que le libre nous permette cette année d’injecter dans le programme plus de créativité et de choisir notre propre musique. Je pense que c’est très important pour que l’on se sente bien dedans. Et nous adorons notre court.